Cette année, de nombreuses marques françaises se trouvaient à Baselworld : les plus prestigieuses avaient leur stand dans les grands halls, et d’autres plus petites étaient regroupées dans la partie “Ateliers”. Mais les événement annexes sont également nombreux. C’est ainsi que la soirée Wine & Time regroupait une quinzaine de marques diverses, dont plusieurs marques françaises. Cet article vous présente un panorama des marques françaises qui étaient présentes à Bâle cette année.
Sommaire
Aight Watch
AIGHT (diminutif de Alright) est un collectif de designers français passionnés d’horlogerie. Ils présentaient à Bâle la collection On Stage, des montres fashion à première vue assez classiques dans leur design. Mais en y regardant de plus près, on peut y voir une très bonne qualité de finition : couronne bien travaillée, aiguilles originales, forme adoucie des cornes. Les montres existent en 36 (boitier brillant), en 38 (boitier mat avec maille milanaise) ou 40 mm (boitier mat). Les bracelets sont interchangeables. Les prix moyens sont de 150€.
Mais l’équipe de Aight a également produit en 2013 une autre montre, la Slap. Techniquement c’est un bracelet de plastique rigide qui s’enroule autour du poignet en le « claquant », d’où le nom de « Slap ». Cette montre a été choisie par le Centre Pompidou pour créer une collection autour des œuvres de Mondrian, Pollock et Kupka. Ces montres sont épatantes et réellement amusantes. Elles sont toujours vendues sur le site Internet de Aight au prix de 59€.
Bell & Ross
Les nouveautés étaient nombreuses cette année chez Bell & Ross. Nous allons nous concentrer sur deux nouvelles montres inspirées par un appareil monoplace ultramoderne imaginé par Bruno Belamich (le « Bell » de « Bell & Ross). Cet avion est intégralement construit dans des matériaux high-tech (graphite, fibre de verre, titane et alliage d’aluminium). Il est motorisé par un V12 Rolls Royce Falcon. Sa vitesse maximale est de 909 km/h soit Mach 0.73. Cet avion est conçu pour participer aux Reno Air Races, une compétition qui se déroule chaque année dans le Nevada, c’est la compétition de vitesse la plus extrême du monde aérien. Les avions évoluent ensemble, “full speed”, à très basse altitude, sur un circuit fermé matérialisé par des pylônes de 10 mètres de haut.
La BR V1-92 Racing Bird est une série limitée à 999 exemplaires. C’est une montre 3 aiguilles + date, équipée du calibre automatique BR-CAL.302 dans un boitier de 38,5 mm en acier poli-satiné. Le verre ultra bombé est en saphir traité antireflet. Le cadran est blanc, avec les chiffres bleus, les aiguilles sont métalliques, squelettées et remplies de Super-LumiNova. On notera le dateur qui affiche trois jours, comme sur la Nomos Autobahn qui a fait l’objet d’un article récemment. Le bracelet est en veau bleu avec doublure orange. La montre offre une étanchéité à 10 atm. Ce modèle est vendu au prix de 2.200€.
La BR V2-94 Racing Bird, série limitée à 999 exemplaires, est un chronographe, et présente les mêmes caractéristiques générales que le modèle précédent à part le calibre automatique BR-CAL.301 et le diamètre du boitier qui est de 41 mm. La lunette est en acier avec bague en aluminium anodisé bleu graduée avec tachymètre. La couronne et les poussoirs sont vissés. Le cadran est blanc, avec les chiffres bleus, le fond est aussi en verre saphir. Le bracelet est ici proposé en deux versions, soit en veau bleu avec doublure orange, soit en acier. Ce modèle est vendu au prix de 3.990€ en version cuir, et 4.300€ en version acier.
Fugue Watches
Fugue est le projet de Leopoldo Celi, dont le père collectionneur de montres lui a donné le virus de la belle horlogerie. Le projet s’intitule Chronostase et consiste en une montre avec carrure facilement démontable. En pratique, le boiter est indépendant de la carrure. La montre existe en 4 coloris (cadran noir index blanc, cadran argent index gris foncé, cadran blanc index bleu et cadran noir index crème). Il y a différentes formes de carrure avec différentes couleurs. Le boitier est maintenu dans la carrure grâce à un ingénieux système de 4 billes sur ressort placés dans le boitier et qui se coincent dans un creux de la carrure. Techniquement la montre contient un mouvement automatique suisse Sellita SW200. Le boitier fait 40 mm de diamètre, la largeur totale dépendant de la carrure choisie. La montre se vend on-line au prix de 1.270€ comprenant le boitier, 2 carrures et 2 bracelets.
Hervet Watches
Fondateur du site de vente de montres de seconde main Kronos 360, Jean-Philippe Hervet a développé le projet assez ambitieux de créer une montre de luxe française. Le résultat est l’ICON, une montre de 42 mm de large sur 50, un boitier en Titane, cadran taillé dans la masse, verre saphir anti-reflet, étanche à 30 atm. Le mouvement automatique est un ETA 2895 retravaillé afin de permettre de déplacement de l’aiguille de petite seconde à 9 mm du centre, les finitions du mouvement sont assez soignées. Le bracelet est en cuir avec boucle déployante. Elle existe en différentes finitions, dont une plaquée or. Le prix est d’approximativement 8.000€, avec un prix actuel de souscription de -20%. Notons que Jean-Philippe Hervent produit aussi sous une autre marque (Octopus) des montres de plongée. Les photos prises à Bâle étant tout à fait ratées, voici celles fournies par Jean-Philippe Hervent.
Hexagonale Watches
Petit coup de cœur pour cette micro-marque qui se préparait à lancer sa première campagne sur Kickstarter. “Se préparait” parce que la campagne Kickstarter vient d’être annulée, et c’est bien dommage car cette montre était bien sympathique. Espérons qu’ils pourront trouver une autre solution de financement, raison pour laquelle nous continuons à vous parler de ce projet. La montre s’appelle carrément « Corps français, cœur suisse », et présente des caractéristiques intéressantes : toutes les pièces sont fabriquées en France à l’exception du mouvement (calibre suisse Sellita SW200-1) et du cadran également suisse. Les autres pièces proviennent de différentes régions de France, mais essentiellement du Doubs. Les autres caractéristiques techniques : boitier de 41 mm de large, couronne vissée offrant une étanchéité à 10 atm, un verre saphir, un bracelet caoutchouc travaillé « façon sellier », ce qui lui donne un aspect cuir. Les montres sont assemblées à Sancey dans le Doubs. Le prix qui était annoncé est de 1.500€, avec un prix de 1.350€ sur Kickstarter. Nous verrons bien si le projet refait surface.
Humbert-Droz
Humbert-Droz est un projet horloger familial. Au départ d’un atelier de réparation horlogère situé à Besançon et fondé en 1956 par Marcel HUMBERT-DROZ, les trois générations suivantes regroupées ont décidé de donner naissance à la marque « Humbert-Droz ».
Nous avons eu la chance de rencontrer ces trois générations réunies pour une photo (de droite à gauche) :
- Jean, l’ainé, qui apporte un regard technique grâce à une expérience de 65 ans du métier ;
- Frédéric, le gestionnaire, en charge de l’administratif et de la relation client ;
- Et Julien le petit dernier, directeur technique de l’atelier depuis 2012, qui maîtrise les aspects techniques, le design ainsi que les nouveaux systèmes de ventes.
Les modèles présentés à Bâle étaient la HD4 et la HD5. Sans être une nouveauté de Baselworld 2018, la HD4 était bien présente sur le stand. C’est une montre guichet inspirée par les montres des années 70. Avec un boitier de 40 mm de large, elle reste très confortable à porter malgré un aspect un peu massif dû à sa forme. Elle est animée par un mouvement automatique allemand Bernhard FÖRSTER. Les modèles HD4 sont vendus à 649€ pour une série limitée à 400 exemplaires.
La HD5 est d’un design beaucoup plus classique, montre ronde d’un diamètre de 39 mm, soit une taille sans doute un peu grande pour les dames. Equipée d’un mouvement automatique ETA 2892-A2 en finition supérieure, la montre est proposée en série limitée à 150 exemplaires au prix de 449€. Et pour ce prix vous recevez également deux bracelets NATO en plus.
LIP
LIP a connu bien des déboires ces dernières années, mais la reprise par SMB en 2014 semble avoir apporté une nouvelle stabilité. La stratégie de l’entreprise consiste à rapatrier le maximum d’opérations en France dans la région de Besançon. L’assemblage est fait en France, les matériaux viennent de France ou d’Europe, les bracelets sont fabriqués en France et les cadrans en Suisse. Les mouvements japonais Miyota arrivent en pièces détachées en France où ils sont personnalisés et remontés. Jusqu’à présent, SMB s’est focalisé sur l’exploitation des modèles emblématiques de la marque : Mach 2000, Nautic Ski, et surtout l’Himalaya qui constitue le plus gros des ventes. Un nouveau calibre est en cours de développement en interne.
Portons notre attention sur la vraie nouveauté de 2018, la première création de SMB depuis 2014 : la Sous Marinier. Il s’agit d’une montre de plongée, étanche à 200 m, avec lunette tournante unidirectionnelle, et aiguilles en Super-LumiNova. Le mouvement est automatique. Petite particularité, l’affichage du jour se fait au choix en français et en anglais. Ce double affichage est courant sur des montres telles que les Seiko, mais peu courant pour une montre française. Cette Lip Sous Marinier assemblée à Besançon est proposée à 449 euros. Elle existe en différentes combinaisons de couleurs : cadran gris lunette noire, cadran et lunette verts, cadran et lunette bleus.
March LAB
March LAB présentait cette année plusieurs variations de modèles existants, mais nous allons nous concentrer sur la vraie nouveauté de Bâle, qui n’est d’ailleurs toujours pas visible sur le site Internet, c’est un tout nouveau modèle sportif baptisée Belza. Surtout ne dites pas que c’est une plongeuses, parce que c’est une surfeuse, on est à Biarritz ! Pour rappel le « B » de March LAB vient de Biarritz (et le « LA » de los Angeles).
C’est une montre de 40 mm, étanche à 200m, et mue par un calibre automatique Miyota 9015 offrant une réserve de marche de 42h. Trois cadrans sont prévus : bleu océan (soleillé), vert Forest (soleillé) ou vert Grall (vert laqué, presque noir). La lunette est en acier avec le bord crénelé, les indications sont gravées sur la lunette (et non peintes ou collées). Deux bracelets sont proposés, en caoutchouc ou en cuir doublé de synthétique.
Les deux modèles verts : à gauche le vert Grall avec le bracelet cuir doublé, et à droite le vert Forest avec le bracelet caoutchouc.
Belza est le nom d’une villa emblématique de Biarritz, dominant le spot de surf. Et cette villa est gravée sur le fond de la montre. La montre sera proposée à 1.195€.
Michel Herbelin
La maison Michel Herbelin fête cette année le 30ème anniversaire de sa collection Newport, et à cette occasion, a redessiné intégralement son chronographe automatique. Proposé en édition limitée à 300 exemplaires, ce modèle reprend certains des codes classiques de la Newport tels que les attaches de bracelet centrales, une lunette imposante par sa largeur, la roue marine sur la couronne, et les index fuselés en forme d’une coque de bateau stylisée. Pour le reste, ce nouveau modèle a son caractère propre : à la fois poli et brossé pour souligner sa découpe en trois facettes, le boîtier acier entièrement recouvert de PVD gris anthracite présente un diamètre de 43,5 mm. Encadrant une couronne, toujours crantée mais conique, les poussoirs prennent une forme rectangulaire facettée. Le cadran noir carbone est associé à des aiguilles en nickel noir, créées spécifiquement pour ce modèle, et partiellement recouvertes de matière luminescente.
La montre est motorisée par un nouveau mouvement automatique suisse, le Sellita SW510, offrant une réserve de marche de 42 heures. Ce modèle est proposé à 2.450€
Une version trois aiguilles de ce modèle est également disponible, en version limitée à 500 exemplaires. D’un diamètre de 41 mm, il présente globalement les mêmes caractéristiques que le chrono. Il est équipé d’un mouvement automatique suisse ETA. Ce modèle plus accessible est vendu au prix de 1.250€.
Dernière nouveauté de Baselworld 2018, il s’agit cette fois d’un modèle féminin, la Newport Squelette. Limitée à 300 exemplaires, cette montre a un diamètre tout à fait adapté de 35mm. C’est un mouvement automatique suisse Sellita qui l’anime. La montre est vendue à 1.990€.
Octopus Watches
Jean-Pierre Hervet, créateur de la montre ICON que nous avons vue plus haut, a donc aussi créé la marque Octopus. On parle ici de montres de plongée, étanches à 300 m comme la 164 fathoms (1 fathom = une brasse = 1,82m) ou à 1000m. Les prix sont de 1.290€ pour la 300m et 1.990€ pour la 1000m.
Reservoir Watch
La marque Reservoir se positionne comme une marque de luxe (au-delà de 3.000€) mais abordable, c’est-à-dire plus raisonnable que les grandes marques. Ces sources d’inspiration sont clairement dans le Vintage, les montres offrent souvent plusieurs complications, et en tout cas toujours la réserve de marche. Les mouvements sont suisses avec un haut niveau de finition, et adaptés selon les besoins des différents modèles. François Moreau, le fondateur que nous avons pu rencontrer, est collectionneur de « compteurs » : c’est assez inhabituel, mais il possède plusieurs compteurs, et pas seulement de voitures. Les cadrans s’inspirent très souvent de ces compteurs. Reservoir compte aujourd’hui 5 familles réparties dans trois mondes : l’automobile, l’aéronautique et la marine. La marque mérite sûrement un article entier mais nous nous concentrerons sur la nouveauté de Baselworld 2018 : c’est la Sea Hornet.
La Sea Hornet appartient au monde « Marine » et est une variation du modèle Tiefenmesser (profondimètre en allemand). Elle est équipée d’un calibre automatique ETA 2824-2. Le cadran affiche une heure sautante, une minute retrograde et une réserve de marche symbolisée par cinq disques disposés sous le guichet des heures : en pleine charge, les 5 disques apparaissent jaunes. L’étanchéité est de 50 m.
Sartory Billard
Arrivées récemment sur le marché, les montres Sartory-Billard se distinguent par un profil en relief tout à fait épatant. Les lunettes sont interchangeables. Prix de vente 650€.
Utinam Besançon
Utinam est un OVNI dans le monde de l’horlogerie. C’est au départ un fabricant d’horloges comtoises, mais son créateur Philippe Lebru a su diversifier sa production au point de proposer aujourd’hui des modèles d’horloges tout à fait uniques. C’est pour le plaisir des yeux que nous vous les montrons ici. Le modèle dit « de parquet » (puisqu’il est posé au sol) coûte entre 8.800 et 11.700€ selon les versions. Et le modèle mural est entre 5.400 et 7.900€.
Utinam réalise également des horloges monumentales, comme par exemple une horloge réalisée pour les 150 ans d’IWC. Et également une montre, la Météorite, en douze exemplaires, avec une véritable pièce de météorite.
Yema et Yonger & Bresson (Groupe Ambre)
Le groupe Ambre était présent avec ses deux marques françaises Yema et Yonger & Bresson. Il n‘est sans doute pas nécessaire de rappeler que ces deux marques font partie de l’histoire horlogère française.
Yema s’est illustrée au fil du temps avec des modèles tels que la Superman (en 1963), la Yachtingraf et la Rallygraph (en 1966). En 1982, Jean-Loup Chrétien passe 10 jours dans l’espace avec la Spationaute 1. En 2009, le groupe produit son premier calibre maison, le MBP1000, mouvement mécanique à remontage automatique. Yema multiplie les partenariats, avec la Route du Rhum, avec l’armée de l’Air, ou encore le Centre National d’Études Spatiales.
A Bâle, Yema présentait une nouvelle version de la Rallygraph édition spéciale Autobianchi, qui présente des différences assez minimes par rapport à la première version (que j’ai le plaisir de posséder). Le cadran blanc central est rehaussé, les sous-cadrans sont ornés de fibre de verre et l’indication « Tachymeter » est en rouge. La première version était limitée à 200 exemplaires.
Nous avons aussi pu voir une nouvelle version automatique de la Superman : la Superman Héritage, pierre angulaire de la nouvelle stratégie de développement de Yema, qui fait l’objet d’un autre article.
Ceci termine le tour d’horizon des marques de montres françaises présentes à Bâle. Il n’est pas exhaustif, nous aurions aussi pu parler de Briston, qui présentait quelques variations de modèles existants, ou de WilliamL, qui lance une nouvelle campagne Kickstarter avec de nouveaux modèles automatiques, mais le temps nous a manqué.
Dernière modification de l’article le 25/03/2019
Passionné d’horlogerie depuis une dizaine d’années, je m’intéresse autant aux marques qu’aux montres, et suis toujours à la recherche de nouvelles marques. Au-delà des aspects techniques et esthétiques de l’horlogerie, j’aime beaucoup rencontrer les créateurs de marques moins connues, comprendre leur démarche, et les faire connaître.
Difficile de vous dire quelles sont mes marques préférées, disons IWC, Tudor, mais aussi Seiko, Ollech & Wajs et Gavox, et beaucoup d’autres.
Je porte un intérêt particulier aux Tissot T12, une appellation peu connue et créée à l’occasion de la sortie du film de Cousteau “Le monde du silence” en 1956.
11 Comments
René Quilici
Article intéressant. Merci pour toutes ces infos sur les producteurs français de montres. Cela donne envie parfois de craquer!
MichelOnTime
Avec plaisir…
Pierre-Emmanuel Ducruet
Bonsoir, Qu’en est-il de la marque Dodane ?
Theophile
Bonjour. Pierre-Emmanuel dans cet article nous parlons uniquement des marques Françaises que nous avons pu rencontrées au Baselworld 2018. On espère pouvoir les rencontrer un jour et vous en parler sur LeCalibre.com :) !
Arnaud
Merci . Bel article. Amateur de belle montre et a la recherche d’une montre au maximum francaise mais n’ayant pas de grand moyen, j’ai jeter mon dévolu sur une LIP Nautic Ski, réédition du modèle mythique des JO de 1968, mon année de naissance. J’en suis ravi, c’est un bel objet. Je suis ravi de voir revivre l’horlogerie Française, même si cela reste encore confidentiel par rapport a nos voisins Suisses, mais malgré tout reconnu.
Vincent
Bonjour,
J’ai une question sur la marque YEMA…
Dernièrement (et assez régulièrement) un site de vente privées proposait des montres YEMA. Cependant, je n’ai pas retrouvé les modèles vendus sur le site de la marque…
Pensez vous qu’il s’agissait de contrefaçons? La marque propose t’elle une gamme “vente privée” de moins bonne qualité?
Cdlt.
LeCalibre.com
Bonjour Vincent. Quel est le site en question ? Le plus simple serait de demander directement à la marque.
Daniel Seghrouchni
Bonjour,
Tout d’abord merci pour la passion que vous mettez dans les contenues de votre site.
Je n’y connais rien en horlogerie et pourtant je veux comprendre la mécanique horlogère. Pouvez-vous m’aiguiller, me conseiller…?
Par avance merci
Theophile
Bonjour Daniel, un peu dur de répondre à cette question en un seul commentaire tu le concevras.
Mais je t’invite à commencer par te rendre sur notre lexique horloger pour y voir un peu plus clair.
https://www.lecalibre.com/lexique-horloger/
PIERRE
Pourquoi ne pas avoir cité la marque PIERRE LANNIER ?
Theophile
La réponse est dans la première ligne de l’article.