Quelles sont les montres les plus dingues de 2022 ? Comment se passe un salon de l’horlogerie comme les Watches & Wonders ? Et est-ce que Nico Leonard est vraiment aussi surexcité dans la vie qu’en vidéo ? Spoiler alert : oui.
Aujourd’hui, je vous présente quelques-unes des montres qui m’ont le plus impressionné pendant les Watches & Wonders 2022. Je vous parlerai aussi rapidement de l’expérience dans son ensemble, de notre repas avec l’équipe Chronext, Bark and Jack, Watcharch, Nico Leonard, Jenny Elle et Kai Watchvice etc, puis on reviendra vite fait sur les sorties Rolex et sur ce que propose Hublot et ce que ça représente pour moi. J’ai donc beaucoup de choses à vous dire alors suivez-moi à Genève pour l’expérience Watches and Wonders 2022.
Tout d’abord pour résumer rapidement, j’ai absolument adoré l’expérience. Le partage avec tous ces passionnés, toutes ces rencontres, toutes ces découvertes, toute cette ambiance, je trouve le tout extrêmement réussi. D’après moi ça donne une image de l’horlogerie absolument passionnante, avec ses points positifs et ses points négatifs évidemment, mais ça met en lumière une partie centrale du paysage horloger. Allez, on se penche sur les montres.
Grand Seiko
Je commence avec une pièce qui m’a soufflé chez une marque que j’appréciais déjà énormément : La Grand Seiko KODO SLGT003.
Grand Seiko KODO SLGT003
Quelque chose d’intéressant concernant Grand Seiko : dans l’ensemble j’aimais déjà beaucoup la marque principalement pour ce qu’elle représentait, pour les valeurs qu’elle transmettait etc, et certaines de leurs pièces me plaisaient, mais cette année j’ai vraiment pris conscience de la qualité de leurs produits et de l’aura que leurs montres dégagent.
Cette année, ils lancent donc la KODO et son calibre le 9ST1 qui combine un tourbillon et un mécanisme à force constante monobloc tournant sur un même axe. C’est quelque chose d’inédit dans l’histoire de l’horlogerie qui permet une précision de très haut vol, mais aussi une utilisation optimale de l’espace et un effet visuel dingue. La montre est folle et l’attention aux détails est plus qu’impressionnante. Le boîtier de 43,8 millimètres de diamètre est en platine 950 et en « Brilliant Hard Titanium », matériau signature de Grand Seiko. Les finitions du boîtier et du mouvement sont incroyables avec des parties brossées et des parties polies dont certaines avec le célèbre polissage Zaratsu. On retrouve aussi un ajourage superbe et des cornes mixant les deux métaux du boîtier pour un rendu général hypnotisant.
KODO veut dire battement de cœur en japonais et il y a eu un gros travail sur l’acoustique de la montre qui bat parfaitement en rythme, sur plusieurs notes, un peu comme dans un morceau de musique. C’est d’ailleurs un musicien japonais du nom de Takuma qui a bossé sur ce projet et qui, faute d’être devenu une rock star avec sa guitare, est en train de le devenir dans l’horlogerie.
Le mouvement a même donné lieu à un nouveau standard de précision : le Grand Seiko Constant Force. Nouveau standard veut dire nouveaux tests, donc tous les 9ST1 sont mis à l’épreuve pendant 34 jours, bien plus longtemps que pour le Grand Seiko standard classique, dont on parle dans notre article sur l’histoire de Seiko si cela vous intéresse.
Ces nouveaux calibres sont testés pendant 48h dans chacune des 6 positions et à 3 températures différentes, soit deux fois plus longtemps que le Grand Seiko standard.
Voici une partie du dossier presse pour vous expliquer un peu ce que cela donne :
“La cage intérieure du tourbillon tourne tout en douceur, tandis que le balancier oscille avec une parfaite régularité (8 alternances par seconde) et que la cage à force constante suit sa rotation par intervalles d’une seconde exactement. En parfaite harmonie avec cette régularité visuelle, le son de l’échappement et l’impulsion (une par seconde) du mécanisme à force constante émettent une pulsation rassurante procurant une grande satisfaction. La tonalité à la fois puissante et douce, au rythme d’une double croche, est rendue possible par la fréquence du 9ST1, la plus élevée jamais atteinte par un mécanisme à force constante.”
Je trouve que cela vous donne une bonne idée du concept.
À 6h, on retrouve un rubis sur un des bras de la cage à force constante qui vient jouer le rôle de la trotteuse indiquant donc les secondes un peu comme une seconde morte puisque la cage tourne d’un cran chaque seconde comme on l’a dit.
Toujours dans une recherche de précision, la KODO arrête la rotation de la cage de tourbillon lorsque l’on tire sur la couronne. Pratique pour régler l’heure à la seconde près.
On garde donc l’ADN de Grand Seiko qui veut faire des pièces aussi magnifiques que précises, ultra fiables, lisibles, robustes et pratiques. Celle-là est d’ailleurs étanche à 10ATM, encore un point inattendu pour une pièce pareille.
Avant de passer à la suite je termine juste avec le bracelet qui ressemble à du galuchat mais qui est en fait en veau laqué main selon la technique URUSHI, un traitement d’habitude réservé aux armures des samouraïs. Toujours plus.
Assez dingue non ? Il s’agit d’une édition limitée à 20 exemplaires dont les premiers devraient être disponibles en octobre 2022 pour un prix catalogue de 370 000 euros tout de même. Donc à priori pas facile de la rentrer dans sa collection. C’était un vrai plaisir d’avoir pu essayer ce chef d’œuvre.
Grand Seiko Evo 9 2022
À côté de ça, Grand Seiko a sorti des nouveautés dans la collection Evo 9 magnifiques : 2 GMT, 2 chronographes GMT et une Diver 200m en titane ( ci-dessus) qui est ma préférée, inspirée par le Kurushio ou « courant noir » qui entoure l’archipel japonais. Prix catalogue 11 800 euros.
Bref, que du très lourd chez Grand Seiko avec un accueil incroyable, des vrais spécialistes qui répondent à toutes les questions techniques, historiques etc. Dans le reste du salon ce n’est pas toujours le cas, on est parfois reçu par des équipes du marketing qui ne sont clairement pas assez formées sur la technique, parfois même basique et c’est un peu décevant d’après moi.
H.Moser & Cie
Parfois en revanche, on a de superbes surprises comme par exemple chez H.Moser & Cie, une autres de mes marques préférées qui a encore frappé fort.
H.Moser & Cie Pioneer Cylindrical Tourbillon Skeleton
On a notamment découvert cette Pioneer Cylindrical Tourbillon Skeleton, une pièce en acier, métal rare chez H.Moser & Cie, de 42,8 millimètres avec un cadran squelette et un sous-cadran Funky Blue Fumé indiquant les heures à 12h. j’adore ces index luminescents en 3 dimensions qui ajoutent encore à l’impression de profondeur de la pièce. C’est le mouvement automatique HMC 811 qui l’entraine, avec sa masse oscillante en or.
Le spiral cylindrique et le tourbillon volant à 6h offrent un spectacle fascinant pour cette montre aux finitions bluffantes et au prix catalogue de 79 000 euros. Sur le stand, un accueil personnalisé chaleureux et passionné, encore un vrai plaisir.
H.Moser & Cie Endeavour automatique avec seconde centrale
En parallèle, Moser présentait aussi une superbe Endeavour automatique avec seconde centrale en acier de 40 millimètres, au cadran en email Lime Green magnifiquement texturé avec une trotteuse légèrement violacée, prix catalogue de 25 000 euros.
H.Moser & Cie Endeavour “The Armoury”
On a aussi pu essayer leur collaboration avec les pros du costume londoniens de « The Armoury », une Endeavour en 38 mm avec un cadran VentaBlack aux index percés, édition limitée à 28 pièces au prix catalogue aux alentours de 23 500 euros.
Tudor
On continue avec un autre accueil superbe et des sorties incroyables chez Tudor. Magnifique stand avec des concepts originaux, des équipes formées et très accueillantes, une mise scène qui en met plein la vue et des montres qui m’ont fait tomber sous le charme, avec en particulier cette Black Bay Pro.
Tudor Black Bay Pro
Il s’agit d’une pièce en acier en 39 millimètres avec une lunette fixe graduée sur 24h couplée à une 4ème aiguille pour une fonction GMT offerte par le mouvement manufacture MT5652. C’est donc bien un calibre qui intègre une fonction GMT et non pas un module GMT ajouté sur un calibre classique, nuance importante pour Tudor.
Cette Black Bay Pro est pour moi une réussite totale, que je préfère personnellement sur son bracelet hybride caoutchouc/cuir ou sur le tissu. 3 750 euros sur bracelet acier, 3 450 sur les autres.
J’en profite pour répondre à Watches the Folk qui m’avait posé la question sur Instagram : Non, le bracelet de la Black Bay 58 n’est pas compatible avec cette nouvelle Blay Bay Pro. Et une dernière chose sur ce modèle, on a vu beaucoup de monde s’inquiéter de son épaisseur (14,6 millimètres). Pour moi avec son diamètre de 39 millimètres, c’est le parfait équilibre pour une Toolwatch robuste et élégante.
Tudor Black Bay Chrono S&G
Deuxième sortie qui fait possiblement partie de mes prochains achats chez Tudor : la Black Bay Chrono S&G pour Steel and Gold, donc acier et or. Je la trouve absolument grandiose, surtout sur son bracelet Bund, un type de bracelet développé pour les premiers pilotes d’avion pour faire en sorte que le métal ne soit pas en contact avec la peau pour éviter les brulures en cas de très hautes ou très basses températures.
Calibre automatique manufacture MT5813 certifié COSC, boîtier en acier poli et satiné de 41 millimètres, étanchéité à 200 mètres et prix catalogue sur ce bracelet de 5 640 euros. Une véritable tuerie.
Tudor Black Bay GMT S&G
La troisième pièce folle de la marque pour cette année est la Black Bay GMT S&G, elle aussi avec un boîtier en acier satiné et poli de 41 millimètres, une étanchéité à 200 mètres, ici entraînée par le calibre automatique manufacture MT5652 certifié COSC, et équipée d’une lunette tournante bidirectionnelle en or jaune avec insert en aluminium bicolore marron/noir-mat pour un rendu néo-vintage ultra réussi, bien plus efficace que leur GMT Pepsi d’après moi. Prix catalogue sur bracelet cuir : 4 040 euros, 5 230 euros sur bracelet or et acier.
La marque présentait aussi des nouveautés dans les Black Bay classiques dans plusieurs formats, et une nouvelle interprétation de leur Royal avec de la nacre et des diamants.
Autre détail que j’ai adoré : dans leur Goodie Bag, en plus d’une casquette plutôt cool, ils incluaient un petit Comics avec une vraie aventure autour de la Black Bay Ceramic qui montre vraiment un boulot de communication et de story-telling ultra réussi qui m’a vraiment convaincu.
Avant de vous parler de mon repas avec certains des plus gros Youtubers du Watch-Game international, de vous donner mon avis sur les sorties Rolex et mon ressenti sur Hublot et sur les pièces un peu plus décriées en général, quelques mots sur les sorties de chez Jaeger LeCoultre qui tournaient autour du thème de l’odyssée sidérale.
Jaeger LeCoultre
La maison nous a présenté les incroyables horloges Atmos qui se remontent toutes seules en utilisant les changements de température, mais on va se pencher sur les montres bracelet, et notamment la Master Hybris Mechanica Calibre 945.
Jaeger LeCoultre Master Hybris Mechanica Calibre 945
Cette pièce est proposée en or rose ou en or blanc, avec des cadrans différents, mais toujours sur plusieurs niveaux, utilisant une technique d’émaillage rare appelée Grisaille.
En termes d’indications, on peut lire l’heure civile grâce aux aiguilles classiques, mais grâce au cadran rotatif, on peut également lire l’heure sidérale qui se base sur la rotation de la terre, qui met 23 heures, 56 minutes et 4,1 secondes à faire un tour complet sur elle-même.
Au centre du cadran, on découvre également la voute céleste qui représente le ciel de nuit vu depuis la Vallée de Joux, berceau de la maison horlogère. On peut donc en permanence observer la position des constellations en temps réel. Le Cosmotourbillon s’ajoute au spectacle interstellaire pour une pièce qui fait rêver. Ah oui, elles sont aussi équipées d’une répétition minute !
Elles vous bottent ? Ce sont des éditions limitées à 5 pièces chacune, aux alentours de 450 000 euros pièce. Oops.
Jaeger LeCoultre Master Grande Tradition calibre 948
On a aussi découvert la Master Grande Tradition calibre 948 avec sa complication de temps universel et son cadran émaillé sur une base de feuille d’or blanc squelettée bombée qui flotte au-dessus des flots.
Jaeger LeCoultre Polaris à quantième perpétuel
Voilà également la Polaris à quantième perpétuel avec phase de lune en acier ou or rose, intéressant pour une montre à la base destinée à la plongée, mais je voulais aussi vous parler de pièces destinées au public féminin qui m’ont marqué : la Rendez-Vous Star et la Rendez-vous Dazzling Star qui intègrent une complication d’étoile filante.
Jaeger LeCoultre Rendez-Vous Star
En plus de remonter le mouvement, la masse oscillante remonte un module qui lance aléatoirement une animation d’étoile filante qui traverse le cadran. D’après les équipes, l’étoile se lance environ 5 fois par heure, mais puisqu’elle n’est visible que quelques secondes à chaque passage, on n’a la chance de l’apercevoir que quelques fois par jour au maximum. Jaeger propose donc une complication qui intègre un aspect « aléatoire », un mot d’habitude étranger au monde de l’horlogerie, tout en y ajoutant un aspect poétique, presque romantique et original. Cet aspect un peu gadget m’a beaucoup plu, surtout avec leur story-telling ultra travaillé. Ça ne doit pas être facile de proposer des nouveautés dans ce style un peu décalé, tout en restant dans l’élégance ultime, le rendu très haut de gamme et le respect de la tradition. Pour moi cette étoile filante est une des plus grosses réussites du salon dans les modèles féminins, peut-être avec un modèle de chez Cartier et un autre de chez Patek Philippe dont il faudrait que je vous parle dans une autre vidéo.
Merci Chronext
Avant de passer à Rolex et Hublot, je prends une seconde pour remercier très chaleureusement Chronext qui sponsorise de nombreuses vidéos sur notre chaîne Youtube. J’ai eu le privilège de rencontrer une partie de l’équipe pendant les Watches & Wonders, notamment pendant un diner auxquels ils nous ont invité, avec Jonas de Watcharch (Alex était malade), l’incroyable Jenny Elle et son mari Kai Watchvice, le grandiose Adrian de Bark and Jack, le survolté Nico Leonard de Pride and Pinion et son COO le génial Stephen, mais aussi The Wrist Guy, il y a aussi Clément qui est passé, bref que du beau monde. C’était incroyable de passer du temps avec tous ces passionnés et de pouvoir échanger autour de l’horlogerie, parler technique, marketing, MoonSwatch, grail watch, etc donc encore une fois, Merci Chronext.
Nous avons déjà dit beaucoup de chose alors je vais faire vite sur Rolex et Hublot.
Rolex
Pour faire court, la nouvelle GMT Master II verte et noire m’a réconcilié avec les GMT modernes et devient ma préférée des GMT actuelles. Pas de changement incroyable ni de révolution évidemment, mais ce mariage de couleurs avec le rappel de l’aiguille GMT verte me plaît. En plus si vous nous suivez, vous savez que je porte mes montres à droite, donc cette option de couronne et guichet de date à gauche me correspond plutôt bien. Même si les membres des équipes de chez Rolex ne parlent jamais de montre de gaucher lorsqu’ils la présentent…
La Airking vintage a longtemps été ma préférée de la marque. Les récentes me touchent un peu moins mais je trouve cool l’apparition du Chromalight sur les 3, 6 et 9 et le redesign du boîtier pour un rendu plus fin, plus léger, et plus pro.
La Day-Date platine cadran Ice-blue se dote d’une lunette cannelée pour la première fois. Personnellement je la préfère avec la lunette lisse mais la Day-Date reste ma collection préférée et cette pièce file quand même des frissons lorsqu’on la passe au poignet.
On a aussi pu découvrir les Yachtmaster 42 en or jaune sur Oysterflex, et en or blanc avec des pierres de couleur sur la lunette. Ce sont des designs qui me touchent moins mais qui restent efficaces.
Il y avait aussi des Datejust 31 avec de nouvelles finitions sur le cadran et des diamants dans des motifs floraux, qui risquent aussi de plaire au public féminin.
Dans l’ensemble, comme d’habitude, des petites touches de changement plutôt cools qui vont faire crier les détracteurs et qui vont faire rêver les adorateurs.
Hublot
Alors pourquoi je voulais absolument parler d’Hublot ? Eh bien parce que c’est une marque qui me plait très rarement et qui est souvent décriée, à tort ou à raison, notamment par l’ami Nico Leonard qui ne mâche pas ses mots.
J’ai quand même voulu aller les voir sur le salon, et je suis très content d’y être allé. La plupart de leurs sorties ne me touchent toujours pas (à part la Big Bang en céramique bleu pastel que je mettrais bien pour l’été), mais j’ai eu la chance d’être reçu par un membre de l’équipe produit qui a pu me parler technique, construction, design etc, sous un point de vue de passionné qui fait partie de la maison et je trouve que cela permet d’ouvrir les yeux sur certaines choses, donc je voulais vous en parler.
Entendre un de ceux qui a travaillé sur ces pièces vous expliquer les difficultés de production d’une céramique rouge en raison par exemple des pigments qui brulent et deviennent marrons, ou alors vous expliquer que leurs nouvelles Square Bang s’inspirent de bien d’autres choses que les Cartier comme beaucoup le disent et autres, cela permet de se rendre compte que derrière ces pièces, qu’elles nous plaisent ou non, il y a des équipes motivées, passionnées, impliquées, il y a des chercheurs qui travaillent sur des innovations, sur des avancées techniques et technologiques, etc. Celui qui m’a reçu par exemple a travaillé sur la LaFerrari MP-05 qui est encore aujourd’hui la montre bracelet avec la plus grande réserve de marche du monde avec 50 jours de réserve de marche. Lorsqu’on en a discuté, je pouvais voir dans ses yeux qu’il était fier de son travail et qu’il y avait mis une partie de lui-même.
Tout cela pour dire que je trouve qu’il faut garder un esprit ouvert même sur les marques qui nous touchent moins et dont le positionnement ne nous correspond pas. Il est toujours intéressant de se renseigner, de se plonger dans un univers de marque pour essayer de l’appréhender et de le comprendre. Les goûts et les couleurs ne se discutent pas évidemment, mais il est toujours intéressant de creuser un peu pour se faire une idée construite. Il est normal que certaines philosophies et positionnements nous touchent moins que d’autres, mais lorsqu’il y a un réel travail et des artisans passionnés derrière un projet, c’est toujours très respectable d’après moi.
Il y aurait tellement à dire encore sur Patek, Zenith, Ressence, Montblanc, Vacheron et tellement d’autres ! Alors est-ce que vous voulez d’autres articles sur l’évènements?
Dernière modification de l’article le 06/05/2022
Basé entre Paris et la région de Genève, avec des explorations fréquentes à l’international, mon itinéraire professionnel m’a vu évoluer de l’événementiel en Asie et du secteur immobilier français en passant par des sphères variées telles que la formation, la création multimédia et l’intelligence artificielle. Ma curiosité m’a conduit vers l’horlogerie sur le tard. Depuis des années, je suis fier de pouvoir partager les subtilités de ce domaine sur lecalibre.com, média devenu une véritable référence francophone sur le secteur !
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