Préparez-vous ! La montre au meilleur rapport qualité/prix de l’histoire arrive le mois prochain ! Timex fête ses 170 ans cette année et le géant américain a décidé de rendre hommage à son histoire, en mettant en vente une Waterbury, en édition limitée, au prix incroyablement accessible de 1$ seulement. Pourquoi ce choix ? Comment se procurer la montre ? Le Calibre vous aiguille…
Pourquoi 1$ seulement ?
La Waterbury Clock Company, qui deviendra Timex quelques décennies plus tard, est fondée en 1854. Son objectif premier était de rendre la lecture du temps accessible à tous. Ainsi, il y a plus de 100 ans, naissait la Yankee, une montre de poche vendue à 1$, connue sous le nom de « montre ayant rendu le dollar célèbre ».
D’après Timex, plus de 6 millions de ces garde-temps avaient été vendus, permettant ainsi aux agriculteurs, aux conducteurs de train, aux ouvriers, bref, aux plus modestes, de s’offrir leur première montre. La Timex Waterbury 170th Anniversary Edition est donc un hommage à la Yankee et surtout à l’histoire de la marque.
La Waterbury Classic fait partie du catalogue Timex, et est habituellement proposée aux alentours des 120 $. L’Édition limitée qui arrive le mois prochain vous coûtera donc 100 fois moins cher, pour se placer probablement comme le meilleur rapport qualité/prix de l’histoire de l’horlogerie.
Timex Waterbury : classique et élégante
Cette édition limitée reprend le format de 40 mm, avec un boîtier en acier aux finitions brossées et polies, d’une épaisseur de 11 mm. Il renferme un cadran blanc « glacé », mettant en valeur des index laqués en chiffres romains noirs, ainsi que les quelques écritures, dont la marque et la collection « Timex – The Waterbury » à 12h et la mention de l’édition « 170 Anniversary Edition » à 6h.
De très belles aiguilles cathédrales luminescentes indiquent l’heure et la pointe de la trotteuse est rouge. Il y a probablement une signification à ce discret détail, mais je n’ai pas trouvé l’information. Pour compléter le cadran, un double guichet à 3h nous donne la date et le jour.
Enfin, le fond de boîte est gravé de l’inscription « A true american icon » (une véritable icône américaine) et une mention explique que « cette montre célèbre tout simplement la grande horlogerie ». Un détail unique qui souligne le patrimoine et la tradition de la marque américaine, et qui va évidemment attirer les collectionneurs. Le boîtier est monté sur un bracelet cuir marron aux coutures apparentes.
Du côté du mouvement, il n’y a pas d’informations pour le moment, mais ce devrait être un mouvement Quartz identique à celui des versions 40 mm du catalogue Timex.
Cette édition limitée n’est donc pas un coup marketing au rabais. Ce n’est pas une imitation plastique de la Timex Waterbury, mais bien une version similaire à quelques détails près, de la Waterbury Classic vendue à plus de 100$. C’est une montre élégante, classieuse, facile à porter, robuste, qui est évidemment vendue à perte pour l’occasion. Pour 1$, on peut clairement parler de l’affaire du siècle.
Comment se la procurer ?
Contrairement à la Yankee qui s’était donc vendue à plus de 6 millions d’exemplaires, la Waterbury fêtant le 170e anniversaire de la marque ne sera produite qu’à 1000 pièces/monde. Autant vous dire qu’il faudra être particulièrement réactif et se connecter sur le site Timex, à partir du 6 novembre à 10 h (heure de New-York), afin d’espérer pouvoir passer commande.
Vous pouvez d’ores et déjà vous inscrire, afin de recevoir une alerte qui vous préviendra du lancement de la vente. C’est ici que ça se passe.
Pour les collectionneurs qui oublieront de se connecter suffisamment tôt, soit probablement 2 minutes après le début de la vente… il y a fort à parier que la montre sera à nouveau disponible sur Ebay à plusieurs centaines d’euros, dans les heures qui suivent, comme c’était le cas pour les premières Omega X Swatch. Cela dit, le rapport qualité/prix ne sera plus aussi séduisant…
Dernière modification de l’article le 24/10/2024
Depuis que mon grand-père m’a un jour ouvert sa Rolex Oyster Perpetual pour m’expliquer comment une montre pouvait fonctionner sans pile en créant elle-même sa propre énergie, je me suis fasciné pour les montres et leurs complications. Je devais avoir environ 18 ans et encore aujourd’hui, je trouve l’ingénierie toujours aussi intéressante.